Aimer nos voisins, aimer notre voisinage
Certains diraient que la transformation et l’impact de Debbie, ce n’est pas ce qui fait la protection de la planète. Nous, à A Rocha, nous pensons que si.
Certains diraient que la transformation et l’impact de Debbie, ce n’est pas ce qui fait la protection de la planète. Nous, à A Rocha, nous pensons que si.
Dans ma joie, j’ai tweeté et posté la photo présente au début de cet article, accompagnée d’une note remerciant mère Nature pour mon cadeau d’anniversaire. J’ai été assez amusée de me faire gentiment réprimander par quelqu’un qui se demandait si j’avais basculé dans le paganisme et pourquoi je n’avais pas remercié Dieu le Père à la place ?
Il est maintenant évident pour les croyants et pour les autres personnes que ce n’est pas la technologie, mais plutôt un changement fondamental dans nos désirs profonds, qui nous permettra de venir en aide aux habitants et aux espèces de la terre afin qu’ils puissent survivre aux terribles agressions que nous leur imposons. Mais nous devons vraiment y réfléchir pour pouvoir simplement apprendre à « aimer la nature ». Qu’est-ce que cela veut vraiment dire? C’est quoi réellement l’amour ?
Le livre de la jungle : Dans quel monde fabuleux vivrions-nous si nous pouvions nous sentir en sécurité parmi une meute de loups, chanter avec des ours lippus, nous promener à dos de léopard et converser avec des éléphants d’Asie. Mais la triste réalité est que la plupart d’entre nous se trouve face à un dilemme à l’opposé de celui de Mowgli. Au Royaume-Uni, où je vis, c’est dans nos villages, nos cités ou nos villes que, pour la plupart, nous nous sentons en sécurité, et nous réagissons par la peur ou même l’agressivité lorsque la nature menace notre sécurité, nos revenus ou notre bien-être.
Je fus distrait du documentaire par la réaction de mes deux amis. Julien se délectait de la puissance et de la maîtrise des prédateurs, qui volaient et chassaient avec tant de précision, d’élégance et d’efficacité. Jeanne était horrifiée par leur soif de sang. Comment une telle cruauté insensible pouvait-elle s’inscrire dans la magnifique création divine ?
Quelle est la meilleure option : utiliser un lave-vaisselle ou faire la vaisselle à la main ? Je sais bien que c’est un dilemme de pays riches, mais comme ce sujet se présente si souvent dans la conversation, et qu’il soulève des questions intéressantes, j’ai pensé que cela valait la peine d’y consacrer quelques réflexions.
J’aurais souhaité entamer une discussion sur la manière dont nous pouvons aborder… ce que nous appellerons pour l’instant « la protection de la Création »
Le terme « gouvernance environnementale » n’est pas biblique. Par ailleurs, bien que le terme « protection de la Création » soit actuellement communément accepté, il a comme tous les termes, ses limites. Pourrions-nous entamer un débat sur la meilleure façon de décrire notre tâche et sur la manière dont nous nous exprimons à ce sujet?
Les commentaires des gens peuvent être bizarres quand vous leur dites que vous travaillez dans le secteur ‘conservation de la nature’. Si vous dites que vous travaillez pour une organisation non-lucrative (vrai), c’est étonnant combien de fois les gens pensent que vous allez demander de l’argent (faux). Alors, étant donné que nous, les agents dans les organismes de bienfaisance, comptons sur la générosité des gens, est-ce qu’il y a une bonne méthode pour aller à la « pêche aux fonds ?»
Au-delà de la générosité à titre privé ou professionnel, il semblerait qu’il y ait un moyen d’agir évident capable d’apporter un double bénéfice. Il suffirait de générer nos revenus et de gérer nos économies conformément à la générosité dont nous souhaitons faire preuve.
Ayant récemment passé la nuit dans un gîte rural, je décidai de me lever de bon matin pour une promenade. Le froid était mordant. Les champs étaient presque déserts ; toutefois, les haies et les bordures de champs étaient pleines de vie. Cette vie effervescente en marge des champs me fit réfléchir.